Bielle s’est imposée à Marie-Galante à la suite de sa rénovation en 1976.
En 1796, JP. Bielle cultive dans un premier le café.
En 1826, ses fils s’associent et créer une raffinerie sucrière de 53 hectares. Au début du XXème, la production de rhum débute. Les propriétaires se succèdent. En 1935, 17 500L de rhum à 55° sont distillés.
Durant la seconde guerre mondiale, Bielle tombe en ruine, elle est rachetée en 1956 mais elle est laissée encore une fois à l’abandon pendant une vingtaines d’années.
C’est le petit neveu, Dominique Thierry qui se voit confier la SEDB (Société d’Exploitation de la Distillerie Bielle), créée en 1975, qui rassemble les héritiers et il commence à remettre petit à petit la distillerie en activité.
Bielle mettra moins de 40 ans à rétablir son activité de distillerie pour devenir la plus performante des Antilles françaises.
Dominique Thierry conserve les anciens équipements de l’ancienne distillerie et sucrerie plus la maison de maître style colonial et en fait un véritable musée à ciel ouvert.
Afin de produire son rhum pur jus de canne, la plantation cultive 20 hectares de canne à sucre et collabore avec plus de 100 agricultures locaux, 10% de canne à sucre sont acheminés par cabrouet.
Aujourd’hui, Bielle a en stock 1000 barriques ayant contenu majoritairement du bourbon, quelques fûts ont contenu du cognac, des vins de bourgogne et du sauternes.
La production d’alcool pur est de 2 000hl pour un total de 360 000 litres à 55°.
Avis
Il n’y a pas encore d’avis.